DISO'TEAM | MICHEL, DIRECTEUR CLIENTÈLE

4 juin 2025

> Peux-tu te présenter en quelques lignes : toi, ta mission et ce que tu aimes dans ton métier ?

Bonjour ! Moi, c’est Michel, j’ai 38 ans. Originaire d’Annecy j’ai posé mes valises à Nantes en septembre dernier pour reprendre des études avec la volonté de donner plus de sens à ma vie professionnelle et l’aligner avec mes valeurs personnelles.
Comme je le dis souvent : dans une vie, il y a plusieurs vies. Dans celle-ci j’aime explorer, comprendre et apprendre pour accompagner et faire grandir les acteurs économiques (TPE, PME, ONG, indépendants, start-up), les aider à avoir un impact grâce à des stratégies marketing et des dispositifs de communication.

Comme je suis curieux et facilement émerveillé, la diversité des sujets et des projets sont sources de plaisir et de satisfaction au quotidien. 

 

> Pourquoi avoir choisi de rejoindre la Diso’Team ?

J’ai eu la chance de rencontrer Yannick il y a quelques mois. Nos échanges sur la transition écologique ont révélé une belle convergence de points de vue. Intrigué, je me suis intéressé à l’agence, à son positionnement et à ses valeurs, qui ont particulièrement résonné en moi.

Rejoindre la Diso’Team c’était rejoindre une agence à l’ADN distinctif, experte sur les sujets liés aux transitions et porteuse de valeurs qui me parlent vraiment. Sans oublier, le nom de l’agence, « Disobey », me correspond plutôt bien !

 

> Quelle compétence faut-il avoir pour exercer le métier de Directeur Clientèle selon toi ?

Je ne prétends pas détenir la vérité, mais selon moi, au-delà des connaissances métier, la curiosité est essentielle. Être curieux envers les clients et leurs problématiques, les tendances, l’actualité et la culture est crucial. Savoir vivre avec son temps, observer les tendances, s’informer, se cultiver et se remettre en question en permanence sont aussi des qualités importantes. Enfin, l’intérêt pour les autres, en interne comme en externe, est un trait de caractère indispensable pour s’épanouir dans ce métier.

 

> Tu viens de terminer une formation dans la transition écologique. Qu’est-ce qui t’a donné envie d’orienter ta carrière vers ce secteur ?

Le dérèglement climatique a toujours été une source de préoccupation, voire d’anxiété pour moi. J’ai souvent eu le sentiment que les sujets de transition avaient raté leur communication, divisant plutôt que rassemblant. Après avoir accompagné des industriels sur des sujets liés à la transition écologique, j’ai réalisé que je voulais être au cœur de ces enjeux et agir à mon niveau. Et comme je pense qu’il faut bien connaître un sujet pour en parler, j’ai décidé de quitter mon ancien poste pour redevenir étudiant. 

 

> Chez Disobey, on est rarement sages… Peux-tu nous raconter la dernière fois que tu as désobéi pour du meilleur ? 

Je ne sais pas si c’est de la désobéissance ou de la bêtise, mais récemment, j’ai grimpé sur le toit de mon immeuble par la fenêtre de ma chambre pour faire descendre mon chat qui s’était égaré et semblait avoir du mal à retrouver son chemin.