Diso'Team | Philippe

4 mai 2023

> Peux-tu te présenter en quelques lignes

Dans cette agence, je suis arrivé les mains dans les poches,

A l’époque c’était Windreport’, on fait dans la voile

Et moi je reviens de Séoul

J’ai 23 ans et je veux bosser dans le sport

Je suis motivé et viens du Stade Rennais

Depuis 2015, le temps a filé, et la suite,

Tout ça est passé bien vite, où c’est que j’en suis ?

A l’agence oui, c’est de directeur de clientèle dont je parle,

Ce serait mentir si j’dirais que c’est pareil

Déjà, j’ai plus d’expérience, et de belles références à l’agence

Prendre du plaisir et vivre des moments forts avec l’équipe

Sur l’eau ou au bureau, et être fiers de nous

De ce qu’on a accompli avant tous les autres

Le marathon c’est une passion,

Comme taper dans un ballon

Là où j’suis dans mon élément, là où je passe tellement de temps

A kiffer courir, j’suis un Breton, qu’on peut pas déplacer

Comme les vannes de Manu impossible à oublier,

Comme un tifo du SRFC ou comme expliquer

Ce que je fais à mes enfants.

Et j’aime bien SNIPER aussi.

> Peux-tu nous raconter ta journée type chez Disobey ? 

Une journée type… Aucune journée ne se ressemble à l’agence, et c’est d’ailleurs ce qui fait tout le charme de ce métier.

Mais globalement, voici comment ça se présente.

Le matin, je prends une première grosse demi-heure pour traiter mes mails et faire la veille des actualités clients. J’essaie ensuite de caler au maximum les réunions dans la matinée pour me garder du temps de « production » dans l’après-midi. En règle générale, j’ai 2 à 3 réunions par jour, alors autant les enchaîner !

Le midi, c’est sport ! Un marathon, ça se prépare ! Je cours entre 4 et 5 fois par semaine, alors j’essaie autant que possible de programmer les séances de 45 minutes à 1h15 le midi. Ça permet aussi de se vider l’esprit pour repartir de bons pieds pour le reste de la journée.

L’après-midi, on passe en mode production ! Coordination des projets, gestion des budgets et des ressources, réflexion sur les plans d’actions ou les appels d’offre à livrer… Généralement, l’après-midi Google Doc est mon meilleur ami. Un outil bien pratique pour travailler en mode collaboratif !

Après il y a toujours des urgences ou des demandes de dernières minutes qui viennent bousculer le déroulé établi de la journée. Et c’est tant mieux, parce qu’à l’agence, on est plutôt sur la même longueur d’ondes que Paulo Coelho : « Si vous pensez que l’aventure est dangereuse, essayez la routine, elle est mortelle. »

> Une fierté ou un projet qui t’a marqué à l’agence ?

L’arrivée de François Gabart sur son tour du monde en solitaire 2017 et celle de Charlie Dalin sur le Vendée Globe 2020 restent des moments forts et des super temps de partage avec l’équipe en interne. En janvier 2021, pour l’arrivée d’APIVIA, nous étions en plein confinement. Nous savions que le public ne pourrait pas venir acclamer Charlie le long du chenal des Sables d’Olonne. Et pourtant nous devions construire un dispositif à la hauteur de la course que Charlie avait réalisée pendant 80 jours en solitaire. Autre paramètre : le scénario de l’arrivée était complètement incertain au regard des écarts entre les skippers et des temps de compensation accordés à certains navigateurs. C’est aussi ça qui fait la beauté du sport ! Au final, on a réussi à créer une belle opération qui a été récompensée au Grand Prix Com&Media 2021.

> Avec quelle entreprise/association/ONG rêverais-tu que l’agence travaille ?

En tant que grand amateur de sport, travailler pour les Jeux Olympiques de Paris 2024 serait une grande fierté. C’est un événement d’envergure internationale avec une visibilité énorme. Il y a tant à développer à tous les niveaux de la communication (du social media à l’événementiel, en passant par le branding ou les relations presse), c’est vraiment un univers qui m’inspire.

Et pourquoi ne pas y participer en tant qu’athlète sur le Marathon Pour Tous 😉.

Je trouve également que la démarche de l’agence d’accompagner Surfrider est une initiative à souligner. L’agence baigne dans l’eau salée depuis 1999 et travaille étroitement avec l’ONG depuis plusieurs années maintenant. Développer des projets engageants et à impact positif, c’est ça l’esprit Disobey !