Ocean Spatial : nous sommes à la proue d’un monde en transition
En l’espace de quelques jours, la France a rappelé au monde son ambition : être à la proue des grandes explorations de notre siècle — celles qui relient les abysses aux étoiles, l’écume des vagues aux voiles solaires. En accueillant la Conférence des Nations Unies sur les océans à Nice, et en exposant toute sa maîtrise technologique au Salon international de l’aéronautique et de l’espace au Bourget, nous traçons une ligne de crête entre deux immensités : l’océan et l’espace, territoires de défis, de ressources, et de souveraineté.
Dans les discours comme dans les actes, nous affirmons une vision claire : face aux chocs du climat, aux rivalités technologiques, aux tensions géopolitiques, la souveraineté française ne se construit pas dans le repli mais dans l’engagement actif, la science, l’innovation et la capacité à inspirer le monde. La France ne se contente pas de préserver son littoral : elle défend une diplomatie bleue, ambitieuse, audacieuse, globale. Elle ne se contente pas de produire des satellites : elle forme des astronautes, des pionniers, des passeurs de rêve.
Parmi eux, Sophie Adenot incarne cette fierté nouvelle. Première femme française du corps des astronautes de l’ESA depuis Claudie Haigneré en 2001, ingénieure, pilote, exploratrice du réel et de l’imaginaire, elle incarne un idéal d’excellence, de courage et d’humilité. Sa trajectoire est celle d’un pays qui croit en ses talents, qui investit dans ses savoir-faire, qui ose lever les yeux vers le ciel sans jamais oublier la planète qui l’a vu naître. Et qui croit en ses rêves.
Chez Disobey, agence de communication, entreprise à mission, cette ambition résonne profondément. Depuis 25 ans, nous avons accompagné les acteurs de la mer, ceux qui challengent, protègent, réparent, transmettent. Aujourd’hui, nous prenons un virage assumé : celui de l’aéronautique et du spatial, avec la même exigence de sens, de beauté et de responsabilité. Car raconter l’avenir — celui des grands vents solaires comme celui des courants marins —, c’est plus que de la communication : c’est un acte d’engagement, un choix de récit, un devoir de transmission.
De l’océan à l’espace, une même ligne d’horizon unit les peuples, les sciences et les rêves. Nous en dessinons plus que jamais la trajectoire.
